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Homme au bas et soutien gorge, 1974
Lopes dans la statuaire antique
Dessin et peinture sur papier calque
150 x 130 cm
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Homme à la panthère, 1974
Lopes dans la statuaire antique
Dessin et peinture sur toile
150 x 130 cm
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Sans titre, 2005
Acrylique sur papier calque
20 x 30 cm
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Sans titre, 2009
Acrylique sur papier calque
20 x 30 cm
Collection particulière -
Sans titre, 2005
Acrylique sur papier calque
20 x 30 cm
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Sans titre, 2008
Acrylique sur papier calque
20 x 30 cm
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Sans titre, 2011
Acrylique sur papier calque
20 x 30 cm
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Sans titre, 2017
Acrylique sur papier calque
60 x 80 cm
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Sans titre, 2017
Acrylique sur papier calque
60 x 80 cm
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Sans titre, 2017
Acrylique sur papier calque
20 x 30 cm
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Le Baiser
Miroir coloré gravé
Diam. 100 cm.
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Ombres colorées à Tanger, 2015
Verres colorés, acier, projecteur
100 x 300 x 34 cm
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Ombres colorées à Tanger, 2015
Verres colorés, acier, projecteur
100 x 200 x 26 cm
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Sans titre, 2018
Verres colorés et peints, acier
35,5 x 35,5 x 9 cm
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Sans titre, 2018
Verres colorés et peints, acier
35,5 x 35,5 x 9 cm
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Cercle jaune avec femme en rouge, 2018
Tirage lambda contrecollé sur Dibond
150 x 100 cm
Edition de 8 ex -
Trapèze bleu avec femme en noir, 2016
Caisson lumineux et figurante
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Vertigo, 2007 / 2014
Installation lumineuse
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Suivez mon panache rose, 2012
Installation lumineuse réalisée dans le cadre de La Nuit Blanche 2012 (Ivry-sur-Seine)
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Des caissons lumineux pour gardiens de musée, 1989
Installation lumineuse
Présentation
Le travail de Jacqueline Dauriac se manifeste depuis plusieurs années sans qu’aucun formalisme ne s’en dégage. Ses installations in situ et in senso portent une attention particulière à la lumière (naturelle ou colorée) et aux liens qui nous unissent à l’espace de son expérience. Ce faisant, l’artiste laisse affleurer, comme une ligne sensible traversant toute son œuvre, une certaine « géométrie de la sympathie », capable de mobiliser aussi bien le corps du spectateur que sa sensibilité.
Si l’essentiel de son travail reste proche de l’art conceptuel, il n’en demeure pas moins ici question de peinture, qu’il s’agisse de ses premières œuvres des années 1970 ou de Suivez mon panache rose (Nuit Blanche, 2012, Ivry-sur-Seine, commissariat : Laurent Le Bon) qui compose un hommage à Nicolas Poussin et à ses paysages idéaux.
Jacqueline Dauriac développe également depuis les années 1980 une pratique graphique plus confidentielle, qui mêle aplats de couleur pure, grattage et textes. Des dessins qu’elle réalise sur papier calque, dont la matité soyeuse, l’aspect translucide et la fragilité lui rappellent la douceur de la peau.
Née à Tarbes, Jacqueline Dauriac vit et travaille à Paris et Ivry-sur-Seine. Ses œuvres ont notamment été exposées à Rotterdam (Musée Witte de With), Hambourg, Cologne et Stuttgart (Kunstverein), Bruxelles (Palais des Beaux-Arts), Stockholm (Moderna Museet) et Paris, où le MAMVP lui consacra deux expositions personnelles (1975 et 1984). Elle a également participé à plusieurs éditions de Nuit Blanche (Paris) et Expériences Pommery (Reims). Plus récemment, une exposition lui a été consacrée en 2018 à la galerie Fernand Léger (Ivry-sur-Seine).
